Price: 15 Euro
Available Size: S, M, L
Wednesday, December 16, 2009
Monday, December 14, 2009
Tuesday, December 8, 2009
Monday, November 16, 2009
Wednesday, November 11, 2009
Tuesday, November 3, 2009
Georgia Today Issue #483
The Tbilisi Altervision festival was held Oct. 23. The event aimed to introduce newcomer Georgian bands to the wider public. Performers at the festival included Ketrine&Me, The Georgians, Mirror Illusion, Me and My Monkey, Pornopoetry, Defenders of Tanelorn, ABC, Georgian Version, The Forest, Vitamin and Rema and Sanda.
The music varied in style and genre and the audience members had the chance to savor samples from the contemporary music scene such as death metal, minimal techno, folk-rock, funk and even Britpop.
“We tried to select quality bands from each genre. Unfortunately the hip hop niche was missed. Hopefully next year the gap will be filled,” festival organizer Achiko Guledani said.
The event’s initiators at Step Records did a remarkable job not only by giving different music genres equal opportunities, but also by introducing innovative marketing solutions to the Georgian market. The bands arrived on motorbikes, and stopped immediately in front of the stage and then proceeded to walk up the red carpet. As one musician said, “The way they organized things makes me feel as if I am an established musician.”
Even those bands that were not selected for the event had the chance to perform open-air in front of the Potola statue in downtown Tbilisi. The organizers dressed Potola in a T-shirt with an Altervision logo and jeans. The organizers also invited headliner bands from abroad, including Cynic Guru from Iceland and Temple Hedz from the UK.
The Altervision event was a continuation of the Tbilisi Open Air Festival, which took place in May. The idea is to promote and support Georgian independent musicians and the overall development of Georgian music industry. The festival’s slogan is “Music Breaks Free.”
Story by Ruso Strelkova
30.10.2009
Link: www.georgiatoday.ge
Monday, October 26, 2009
Thursday, October 22, 2009
MAMM @ Altervision
Date: 23 October 19:00
Place: Sport Hall
Price: 3 GEL
Lineup:
1. Ketrine&Me
2. The Georgians
3. Mirror Illusion
4. Me and My Monkey
5. Pornopoetry
6. Defenders of Tanelorn
7. ABC
8. Georgian Version
9. The Forest
10. Vitamin
11. Rema
12. Sanda
Headliners:
1. Cynic Guru (Iceland)
2. Temple Hedz (United Kingdom)
Sunday, October 18, 2009
Monday, September 14, 2009
New Cd Out
new spacial release CD for ME magazine which was included in 12th issuetrack list
1. it's Coming Back (acoustic)
2. Feel Me Inside
3. With Me
all tracks and lyrics are written ad performed by MAMM
PARTY BY THE SEASIDE
Friday, July 31, 2009
MAMM @ Altsdat Festival Germany 2009
Georgier und Saarländer feiern ihre Freundschaft
Cafe Exodus organisiert Jugendaustausch - Zwei Bands aus Tbilissi rocken beim Altstadtfest Georgier und Saarländer feiern ihre Freundschaft Das Cafe Exodus des Bistums Trier pflegt seit fünf Jahren den Jugendaustausch mit der georgischen Partnerstadt Tbilissi. Vom 4. bis 18. Juli kommen die Georgier ins Saarland. Dann wird auch die politische Lage in ihrer Heimat ein Thema sein. Saarländer und Georgier hatten sich 2008 beim Jugendaustausch in Tbilissi richtig lieb. Saarbrücken: Die nächsten Wochen werden etwas stressig für Martin Bauer. Doch der Leiter des Cafe Exodus im Nauwieser Viertel ist trotzdem gut gelaunt wie immer. An der Wand im Cafe hängt die Liste, welche Band wann auf der Rockwiese beim Saarbrücker Altstadtfest am Wochenende spielt. Das ist das eine Großprojekt. Zeitgleich werden am Altstadtfest-Samstag 16 junge Georgier aus der Partnerstadt Tbilissi nach Saarbrücken kommen, um hier am deutsch-georgischen Jugendaustausch teilzunehmen, den das Cafe Exodus ebenfalls organisiert. Vom 4. bis 18. Juli werden die Georgier im Saarland sein. Im vergangenen Jahr war eine Gruppe von Exodus-Jugendlichen am Kaukasus und kam mit vielen Eindrücken zurück. Einige der Georgier haben am Sonntagabend gleich ihren großen Auftritt. Sie sind Mitglieder der Rockbands "Me and my Monkey" und "Vitamin" und freuen sich schon darauf, den Altstadtfest-Besuchern am Sonntag um 18.30 und 21 Uhr eine gute Show zu bieten. Sie kommen aber auch nach Saarbrücken, um ihr Deutsch zu verbessern, sagt Bauer. Und die Exodus’ler sind schon ganz gespannt auf neue Informationen über die politische Situation in Georgien. "Die fragen dauernd: Gibt’s Neuigkeiten aus Tbilissi?", erzählt Martin Bauer. Im vergangenen Jahr waren die Jugendlichen gerade aus Tbilissi zurückgekehrt, als der georgisch-russische Krieg um die Region Südossetien im August ausbrach. Zurzeit protestiert die Opposition fast täglich gegen Präsident Michail Saakaschwili und fordert dessen Rücktritt. "Die Situation in Georgien wird auf jeden Fall ein Thema sein", sagt Bauer. Natürlich soll der Spaß nicht zu kurz kommen. Vom 11. bis 15. Juli fährt die Gruppe an den Rhein. Während der gesamten Jugendbegegnung sollen die Teilnehmer ihre Erlebnisse mit der Kamera festhalten, berichtet Bauer. Die Jugendlichen aus Tbilissi werden bei der Arbeiterwohlfahrt in Ludweiler und in Familien untergebracht. Alte Bekannte werden ein Wiedersehen feiern, aber sicher auch neue Freundschaften geschlossen. Spätestens dann wird der Vorbereitungsstress bei Martin Bauer vergessen sein.
Saturday, March 21, 2009
Monday, February 23, 2009
Des singes très rock à Tbilissi
Me and My Monkey
Des singes très rock à Tbilissi
L’histoire commence à Tbilissi, en 2007, pendant une fête chez des amis.
Deux musiciens, assez éméchés, engagent la conversation. Après une heure de
vifs débats sur le rock en Géorgie, une décision est prise : Sandro
et Gocha Bakradze vont former un groupe. « Me and My Monkey, au départ,
c’était moi et mon ordinateur, explique Sandro. Je jouais, chantais et mixais
tout seul dessus, et je l’avais baptisé Monkey. Le nom a plu à Gocha, alors
on l’a gardé ! ».
Sandro, chanteur et guitariste, est tombé dans le rock tout petit.
Son père, prêtre, était fan des Doors, des Rolling Stones et de Led Zeppelin.
Il lui a offert sa première guitare accoustique à l’âge de douze ans, puis à seize ans,
c’est une guitare électrique qu’il a reçu. Et ce fut le déclic.
Aujourd’hui, le jeune homme de 27 ans est un musicien confirmé…
qui enregistre ses chansons à la maison. « Il y a très peu de bons studios
à Tbilissi, et les ingénieurs du son sont franchement nuls.
Alors nous, on préfère travailler chez nous. Heureusement, nos
voisins apprécient notre musique ! », s’amuse Sandro.
« Les Géorgiens n’ont plus la possibilité d’investir dans la musique »
Influencés par Radiohead et par les Beatles, Me and My Monkey a voulu
toucher à tout. Mélanger indie, musique électronique et musique expérimentale,
c’est leur marque de fabrique à Tbilissi… et ça semble plaire. En 2007,
le groupe a participé au festival Rockwise à Sarrebruck, en Allemagne.
« On espère être invités cette année aussi, confie Sandro.
C’était super de jouer aux côtés de groupes anglais,
hollandais… En plus, comme on chante en anglais,
tout le monde peut comprendre nos chansons. »
Être compris de tous n’est toutefois pas la seule préoccupation
du groupe anglophone. « Notre chanson Star Fucker, en géorgien,
ça donne « varskvlabt mtyvneli ». C’est pas facile à prononcer,
et avouons le, c’est franchement moche. »
Drogue, guerre, violence, identité, tous les thèmes « traditionnels »
du rock sont abordés par le groupe. « Bien sûr, la situation en Géorgie
me révolte, mais je ne parle pas que de ça, précise le musicien.
Tout ce qui se passe dans le monde, le réchauffement climatique,
la course à l’or noir, ça ne concerne pas que mon pays, ça
touche tout le monde. Et comme je ne peux rien faire de concret,
je dénonce toutes ces horreurs en chansons ».
Mais la guerre ne fait pas qu’influencer les deux musiciens.
Elle les touche professionnellement. « Après tous les problèmes qu’a connu le pays,
les Géorgiens n’ont plus la possibilité d’investir dans la musique.
Notre manager, Michael Wiederhold, est allemand.
Personne à Tbilissi ne voulait se nous ! », plaisante à moitié Sandro.
Plusieurs concerts de Me and My Monkey ont été organisés
depuis 2007 en Géorgie, mais trop peu de lieux peuvent accueillir
des concerts de rock. Financièrement, le groupe rame également :
une prestation est payée en moyenne 200 dollars. Le premier album du groupe,
Star Fucker, devrait être mis en vente d’ici quelques mois. Pour le moment,
Sandro et Gocha vivent essentiellement de petits boulots. En attendant la gloire,
ils élaborent quelques projets. « Quand on gagnera suffisamment d’argent, on a
l’intention d’ouvrir un studio d’enregistrement à Tbilissi, révèle Sandro.
Il faudrait que tous les musiciens puissent travailler convenablement.
On veut faire connaitre le rock à toute la Géorgie ! »
Safar Baroud
Des singes très rock à Tbilissi
L’histoire commence à Tbilissi, en 2007, pendant une fête chez des amis.
Deux musiciens, assez éméchés, engagent la conversation. Après une heure de
vifs débats sur le rock en Géorgie, une décision est prise : Sandro
et Gocha Bakradze vont former un groupe. « Me and My Monkey, au départ,
c’était moi et mon ordinateur, explique Sandro. Je jouais, chantais et mixais
tout seul dessus, et je l’avais baptisé Monkey. Le nom a plu à Gocha, alors
on l’a gardé ! ».
Sandro, chanteur et guitariste, est tombé dans le rock tout petit.
Son père, prêtre, était fan des Doors, des Rolling Stones et de Led Zeppelin.
Il lui a offert sa première guitare accoustique à l’âge de douze ans, puis à seize ans,
c’est une guitare électrique qu’il a reçu. Et ce fut le déclic.
Aujourd’hui, le jeune homme de 27 ans est un musicien confirmé…
qui enregistre ses chansons à la maison. « Il y a très peu de bons studios
à Tbilissi, et les ingénieurs du son sont franchement nuls.
Alors nous, on préfère travailler chez nous. Heureusement, nos
voisins apprécient notre musique ! », s’amuse Sandro.
« Les Géorgiens n’ont plus la possibilité d’investir dans la musique »
Influencés par Radiohead et par les Beatles, Me and My Monkey a voulu
toucher à tout. Mélanger indie, musique électronique et musique expérimentale,
c’est leur marque de fabrique à Tbilissi… et ça semble plaire. En 2007,
le groupe a participé au festival Rockwise à Sarrebruck, en Allemagne.
« On espère être invités cette année aussi, confie Sandro.
C’était super de jouer aux côtés de groupes anglais,
hollandais… En plus, comme on chante en anglais,
tout le monde peut comprendre nos chansons. »
Être compris de tous n’est toutefois pas la seule préoccupation
du groupe anglophone. « Notre chanson Star Fucker, en géorgien,
ça donne « varskvlabt mtyvneli ». C’est pas facile à prononcer,
et avouons le, c’est franchement moche. »
Drogue, guerre, violence, identité, tous les thèmes « traditionnels »
du rock sont abordés par le groupe. « Bien sûr, la situation en Géorgie
me révolte, mais je ne parle pas que de ça, précise le musicien.
Tout ce qui se passe dans le monde, le réchauffement climatique,
la course à l’or noir, ça ne concerne pas que mon pays, ça
touche tout le monde. Et comme je ne peux rien faire de concret,
je dénonce toutes ces horreurs en chansons ».
Mais la guerre ne fait pas qu’influencer les deux musiciens.
Elle les touche professionnellement. « Après tous les problèmes qu’a connu le pays,
les Géorgiens n’ont plus la possibilité d’investir dans la musique.
Notre manager, Michael Wiederhold, est allemand.
Personne à Tbilissi ne voulait se nous ! », plaisante à moitié Sandro.
Plusieurs concerts de Me and My Monkey ont été organisés
depuis 2007 en Géorgie, mais trop peu de lieux peuvent accueillir
des concerts de rock. Financièrement, le groupe rame également :
une prestation est payée en moyenne 200 dollars. Le premier album du groupe,
Star Fucker, devrait être mis en vente d’ici quelques mois. Pour le moment,
Sandro et Gocha vivent essentiellement de petits boulots. En attendant la gloire,
ils élaborent quelques projets. « Quand on gagnera suffisamment d’argent, on a
l’intention d’ouvrir un studio d’enregistrement à Tbilissi, révèle Sandro.
Il faudrait que tous les musiciens puissent travailler convenablement.
On veut faire connaitre le rock à toute la Géorgie ! »
Safar Baroud
Friday, January 23, 2009
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